Le contraste souligné du noir et du blanc sur le pavement mosaïque, mais aussi sur les meubles, les murs, les tissus et la tête de lit renvoie sans détour aux couleurs de la Corse.
Dans le cas précis, à la tragédie de l’univers de la Vendetta, à ces moeurs «barbares» que les auteurs romantiques du 19ème siècle, s’employèrent à faire connaître à la bonne société parisienne en proie à la tentation d’exotisme.
Prosper Mérimée, fut séduit par l’austère Colomba originaire de Fozzano, dont il raconta l’histoire en s’inspirant toutefois de certains faits liés à une autre vendetta qui eut pour cadre la ville de Sartène, qu’il intitula «la plus corse des villes corses».